La brocante avait bien commencé malgré un handicap dû à la réparation d’un tendon de l’épaule…
Pour ne pas perdre l’emplacement réservé depuis longtemps, c’est Jonathan (oui, celui-là même qui a connu les douceurs foutankaises) qui m’a servi de bras de remplacement et s’est coltiné la manipulation des caisses. Thanks, Jo !
Hélas, vers 11h, un orage violent a ruiné la journée et nous n’avons pu que fuir, sans même pouvoir sauver tout le stock.
Conclusion: coup d’arrêt pour les brocantes jusqu’à la récupération du bras droit et la reconstitution d’un stock revalorisé.